Étude de constructibilité

Qui ne s’est jamais demandé si un terrain était constructible ? Avec cet outil, nous souhaitons apporter une réponse aux particuliers et professionnels de la construction sur le droit à construire.

À l’échelle d’une parcelle ou d’une unité foncière, nous déterminons la constructibilité du site et son potentiel maximal en fonction de la règlementation locale (documents d’urbanisme, servitudes d’utilité publique, zones protégées, inondables, …).

Le module développé par VICUS Urba permet de faire des hypothèses d’implantation des bâtiments pour estimer le volume maximum constructible sur vos parcelles. Nous pouvons réaliser des croquis en 3D, en option, pour vous matérialiser la projection volumétrique des constructions, mais aussi les masques solaires et paysagers (ombres).

« Mon village est en déclin, il faut construire un nouveau lotissement ». La fin d’un système pyramidal ? Et la trajectoire ZAN dans tout ça ?

  Un cas de figure classique Beaucoup de nos villages, bourgs et petites villes se sont développés, à partir des années 1960, à la faveur de larges lotissements ayant pris place sur d’anciennes terres agricoles à la maîtrise foncière facile. Ces « plaques » pavillonnaires ont trois caractéristiques fondamentales : elles sont grandes, rapportées à la taille du bourg ; elles sont livrées rapidement, rapportées au temps long du village ; elles proposent une offre homogène, et donc accueillent une population homogène. Explorer d’autres voies « Le contexte est plus fort que le concept », disait l’artiste. Il avait raison : chaque situation est unique, en urbanisme peut-être plus encore qu’ailleurs. Cela n’empêche pas l’existence de motifs récurrents. La figure du village qui décline à cause du vieillissement de ses plaques pavillonnaires des années 1970 à 1990 est peut-être moins courante que celle du bourg dont c’est le centre ancien qui décline (encore que…), mais elle reste fréquente. Et comme dans ce dernier cas (qui mobilise d’autres circuits de raisonnement, sur lesquels il nous faudrait revenir par ailleurs), la tentation est souvent grande pour les élus locaux d’ajouter une nouvelle pierre à la pyramide. C’est la voie la plus connue et la plus simple. Elle est aussi compatible, il faut le dire, avec notre modèle agricole qui favorise, après une carrière peu rémunératrice, la prime à la retraite (vente avec plus-value du terrain devenu urbanisable) plutôt que la transmission de l’exploitation. Mais cette logique « traditionnelle » (qui au fond n’a pas 70 ans) est de toute façon compromise par le durcissement de la règlementation sur la consommation foncière, avec la logique du « Zéro Artificialisation Nette » qui doit s’imposer à horizon 2050. D’autres voies sont possibles, qui privilégient la rotation naturelle de la population, en s’appliquant à diversifier sur place le parc résidentiel et à soutenir une politique d’amélioration du cadre de vie. Ces voies sont plus difficiles dans l’immédiat sans doute, mais leurs effets sont plus durables. L’occasion n’est-elle pas donnée de les explorer ? Contactez nous ! https://www.urbanews.fr/2021/11/05/59473-mon-village-est-en-declin-il-faut-construire-un-nouveau-lotissement-la-fin-dun-systeme-pyramidal/ A lire également

Lire la suite »

En cette année très pluvieuse, changer de regard sur les eaux pluviales

  Vers une gestion alternative ou « à la source » Alerte sécheresse, rareté des pluies, … des solutions techniques existent mais, compte tenu du contexte actuel, elles mériteraient d’être systématisées. On évoque notamment la « gestion à la source » ou les « techniques alternatives de maîtrise des eaux de pluies » lorsque les aménagements mis en place permettent le recueil des eaux pluviales, le stockage temporaire et, in fine, la restitution dans le milieu récepteur. Comme le précise France Nature Environnement, le GRAIE ou Groupe de Recherche, Animation technique et Information sur l’Eau a publié en 2018 une étude comparative du coût global pour la gestion des eaux pluviales d’une zone d’activités de 6,5 ha à travers trois propositions d’aménagements : Une proposition plutôt classique avec réseau pluvial enterré aboutissant à un bassin d’infiltration, Une deuxième proposition qui reprend le 1er scénario en ajoutant des aménagement paysagers qualitatifs, Et enfin, une solution alternative où l’eau pluviale est gérée à la source à l’aide de noues d’infiltrations qui se substituent au bassin du scénario initial. Besoin d’aide ? Contactez nous ! https://www.urbanews.fr/2022/09/14/60186-changer-de-regard-sur-les-eaux-pluviales/ A lire également

Lire la suite »